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Les textes et illustrations contenues sur ce site sont protégés par les lois sur le droit d'auteur (sauf indication contraire). Pour citer cet article : Jean-Luc caradeau, www.caradeau.fr, 2016 - L'inquisition : la chasse aux sorcières -Innocent VIII lance la chasse aux sorcières, il sera suivi par les catholiques ainsi que pour la première fois (et probablement la dernière) par les protestants... Article publié sous le pseudonyme d’Yves Leclerc dans le n°4 de Histoire des guerres de religions – juillet, aout, septembre 2013. Revu et complété avant publication sur ce site.
L'inquisition : la chasse aux sorcières - - article - French

L'inquisition : la chasse aux sorcières


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«  Quiconque croit que le diable, parce qu’il a fait certaines choses dans le monde, peut aussi de lui-même produire le tonnerre et les éclairs, les orages et la sécheresse, qu'il soit anathème. » Concile de Braga, an 563, canon VIII.

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Les sorcières(0)

Cet article est le premier du dossier Inquisition publié sous le pseudonyme d’Yves Leclerc dans le n° 4 de L’Histoire des guerres de religions (juillet, aout, septembre 2013).

« Chasse aux sorcières » : l’Église contre le diable

Après avoir combattu le catharisme, l’inquisition doit s’attaquer à la sorcellerie. En 1326, par la bulle Super illius specula(1), le pape Jean XXII (1316-1334) lui donne mission de l’éradiquer dans toute l’Europe où elle s’est répandue.

Saint Thomas d’Aquin lutte contre Satan

Naples, 1319, Guillaume de Tocco (2) recueille des témoignages pour la cause de canonisation de Thomas d’Aquin (1224/1225-1274). Jean Blasio lui raconte qu’en sortant avec le futur saint Thomas sur la terrasse de San Domenico Maggiore, apparut un démon sous la forme d’un homme noir vêtu de noir vêtu de noir. Thomas, le poing levé, se précipita sur l’apparition en criant : « Pourquoi viens-tu ici me tenter ? », mais il ne frappa que le vide, le démon ayant déjà disparu. L’enquêteur demande comment il a pu reconnaître que cette figure noire était un démon. Jean Blasio répond qu’il l’avait déjà vu dans le cristal, lors d’une conjuration faite pour retrouver un livre qui avait été volé à un universitaire. En identifiant à Satan le daimon(3) qu’il avait invoqué dans le cristal pour réparer un dommage humain, il neutralise l’opposition entre magie blanche (bénéfique) et magie noire (maléfique). Cette neutralisation est reprise par le pape Jean XXII dans sa bulle Super illius specula qui excommunie tous ceux qui : « fabriquent et font fabriquer de façon magique des images, un anneau, un miroir, un vase ou toute autre chose pour contraindre les démons, [tous ceux qui] leur font des demandes et en obtiennent des réponses »(4).

Affaire de sorcellerie contemporaine en Afrique
« Hier, à l’autogare, un Haoussa* accusé d’être un rétrécisseur de sexe échappe de justesse à lamort grâce à l’intervention de la police qui disperse la foule qui le lapidait. »** Les faits se passent à Bamako en 1997. La rumeur concernant les « rétrécisseurs de sexe » commence l’année précédente à partir du Cameroun***. Les victimes se multiplient, un étranger leur a demandé un renseignement, leur a serré la main ou tapé sur l’épaule et leur sexe s’est aussitôt rétracté dans leur ventre… Le mal se répand au Bénin, au Togo, en Côted’Ivoire, au Burkina Faso, au Mali… La chasse aux réducteurs de sexe fit, d’après Jean-Jacques Mandel, près de trois cents morts et plus de trois mille blessés à la suite de lynchages par la foule que les autorités pourtant tentaient de contrôler.
Combien en aurait-elle fait si des inquisiteurs avaient été chargés de les rechercher ? Au Cameroun, le Code pénal article 251 punit de deux à dix ans de prison et d’une amende de 5 000 à 100 000 CFA « la pratique de la sorcellerie, magie ou divination susceptible de porter atteinte à la tranquillité publique ou de porter atteinte aux personnes. » La peine peut être plus lourde si ces pratiques ont cours dans des affaires d’homicide.
Les colonisateurs adaptaient leur législation aux croyances africaines. L’article 264 du code pénal français, applicable aux seules colonies, visait la sorcellerie - voir Patrice YENGO in Justice et sorcellerie… , Karthala 2006.
* Ethnie dont les membres exercent la profession decolporteurs. ** Jean-Jacques Mandel, Les rétrécisseurs de sexe in Cahiers d’études africaines. Disponible sur le site Internet etudesafricaines.revues.org/10402 *** Cameroun : le juge et le sorcier, Le Point, service de presse de L’UCAC, 31/03/2012. Lire l’article entier sur le site Internet lepoint.fr
 


Le pape et son neveu envoûtés(5)

« C’était par des procédés magiques que les conjurés espéraient venir à bout de leur affreux projet. […] Le principal consistait à former des images de cire représentant les personnes qu’on avait en vue. Après avoir consacré ces images par des cérémonies religieuses auxquelles se mêlait l’invocation du démon, on y gravait certains caractères mystiques qui avaient la vertu de faire passer, dans les personnes qu’elles représentaient, les opérations exercées sur elles. Â»(6) et Hugues Géraud, évêque de Cahors (1313-1317). Ce dernier aurait tué par envoûtement le neveu du pape, le cardinal Jacques de Yié, et préparé pour le pontife des breuvages empoisonnés. Convaincu de ce double crime, l’évêque est livré au bras séculier (laïque), dégradé, écorché vif, traîné en cet état par les rues de la ville, et enfin livré aux flammes(7). L’Église croit désormais officiellement aux maléfices et à la sorcellerie dont elle avait toujours, jusqu’alors, nié l’efficacité.
La bulle Super illius specula (1326) assimile ces pratiques à une hérésie consistant à pactiser avec les démons. Elle sera confirmée par le pape Innocent VIII (1484-1492) avec sa bulle Summis desiderantes affectibus (Désirant par les sentiments les plus élevés) du 5 décembre 1484. Ce dernier fait aussi rédiger le Marteau des sorcières(8) (Malleus Maleficarum) par les inquisiteurs dominicains Henri Institoris (Heinrich Kramer, 1436-1505) et Jacques Sprenger (1436/1438-1496) et leur confie la lutte contre la sorcellerie en Germanie. Le livre paraît pour la première fois à Strasbourg en 1486 ou 1487. Ce livre écrit originellement en latin fut traduit dans toutes les langues d’Europe et utilisé tout autant par les réformés que par les catholiques.

Malus maleficarum
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Le Marteau des sorcières : un guide pour les inquisiteurs

De nombreux conciles l’avaient affirmé dans le passé : les démons n’ont aucun pouvoir. Par exemple, le canon huit du premier concile de Braga (Portugal, entre 560 et 563) décrétait : « Quiconque croit que le diable, parce qu’il a fait certaines choses dans le monde, peut aussi de lui-même produire le tonnerre et les éclairs, les orages et la sécheresse, qu’il soit anathème. »(9) Cependant, le peuple croit à la puissance des démons et aux pouvoirs des sorciers.
Ainsi, Agobard archevêque de Lyon (816-835 et 839-840), sauve en négociant avec le peuple la vie de quatre personnes que la foule s’apprête à lapider. Les meneurs prétendent qu’ils viennent de la région (imaginaire) de Magonie – un village de Pologne porte ce nom – d’où les sorciers évoquent les tempêtes et les grêles(9). La première partie du Marteau des sorcières, décrivant les pouvoirs des sorciers et les maux que les démons sèment à leur demande, contredit de nombreux canons. On a donc écrit que l’ouvrage fut interdit par l’Église en 1490. Nous en doutons. L’édition de 1490 comporte une recommandation de l’université de Cologne et il restera le manuel de référence des inquisiteurs en matière de sorcellerie.


Les théologiens s’affrontent à propos de l’efficacité des maléfices

À partir du début du XIIIe siècle, deux écoles de théologiens s’affrontent. Les uns tiennent pour les anciens canons, les autres affirment l’efficacité des maléfices et de la sorcellerie. Au XIVe siècle, les seconds sont majoritaires. Jusque-là, la sorcellerie relève des tribunaux de droit séculier. Elle est punie d’un emprisonnement auquel l’Église adjoint une pénitence de gravité variable. C’est un délit de droit commun et un péché individuel, mais ce n’est pas une hérésie. Cependant, la réforme grégorienne, mise en place par le pape Grégoire VII (1073-1085), proclame que le droit canon (celui de l’Église) l’emporte sur tous les autres(10).
Donc, du jour où Jean XXII assimile la sorcellerie à une hérésie, celle-ci relève des tribunaux d’Église et de l’inquisition. La sorcellerie devient, comme l’hérésie, un « crime social » et les tribunaux ne doivent pas attendre qu’une plainte soit déposée pour rechercher sorcières et sorciers. Il est remarquable d’ailleurs que dans le Marteau des sorcières, comme dans d’autres ouvrages postérieurs, les sorciers aient hériter d’un rite qui avait été attribué aux cathares. Celui-ci est décrit tout à la fin d’un manuscrit anonyme provenant de l’abbaye de Villers-en-Brabant(11). On y apprend que les cathares se réunissent pour pratiquer une cérémonie à laquelle préside le démon sous la forme d’un chat blanc, de la taille d’un grand chien avec des plumes des deux côtés de son corps et qu’ils l’embrassent sur le derrière avant de se livrer à des orgies… On reconnaît là le rite du sabbat tel que décrit dans les traités de démonologie, sauf que le chat devient généralement noir quand il n’est pas remplacé par un bouc ou quelque autre animal.
Selon le manuscrit, le rituel fut révélé par le démon au cours d’un exorcisme(12). Le texte date probablement du XIIIe siècle, car on retrouve le même rite dans un texte attribué à Conrad de Marbourg, premier inquisiteur de Rhénanie (1231-1233)(12). Sauf que l’évêque des hérétiques, appelés les cathares de Altavita, remplace le chat, et qu’avant de procéder au rite du baiser, on lui enfonce une cuiller en argent dans le fondement. Grégoire IX (1227-1241) décrit dans sa bulle Vox in Rama (Voix dans Rama, 1233)(13) le rite du chat et du baiser obscène en l’attribuant aux cathares. L’authenticité de la bulle fut contestée ; elle ne semble plus l’être aujourd’hui.
Le Marteau des sorcières et les ouvrages qui lui succéderont sont des compilations de documents plus anciens « réattribués » par les auteurs aux sorciers. Ainsi, le « culte du diable » s’ajoute aux pratiques classiques de magie (connues depuis l’Antiquité) telles que l’utilisation d’anneaux de pouvoir ou le port de phylactères pour obtenir une guérison ou un avantage, ainsi que l’envoûtement, que son but soit le maléfice ou la guérison. Car il vaut mieux pour l’Église qu’un chrétien meure en odeur de sainteté plutôt qu’il guérisse avec l’aide des démons ou d’un médecin juif. Commence aussi une nouvelle évolution qui veut que celui qui prétend que ces pratiques superstitieuses sont inefficaces soit immédiatement suspecté de sorcellerie.

Les enfants aussi peuvent être des sorciers
Entre 1617 et 1630, à Molsheim (Bas-Rhin) et dans les environs, quarante-neuf enfants (onze ans d’âge moyen) sont accusés de sorcellerie. Trente-quatre d’entre eux (vingtcinq garçons et neuf fi lles) sont condamnés à mort et exécutés. Participent au procès en tant qu’auxiliaires de justice, le maître d’école de Molsheim qui, armé de verges, remplace le bourreau pour la question, ainsi que des sages-femmes qui se chargent de vérifier l’innocence des garçons et des filles accusés.
Un article de la Revue d’Alsace raconte les faits en détail. Il est disponible sur le site Internet http://alsace.revues.org.
 


Le cercle vicieux de la Question

L’historiographie moderne estime que les auteurs du XIXe siècle ont construit une légende noire de l’inquisition. Il n’y aurait pas eu autant de victimes qu’ils l’ont estimé et le recours à la torture aurait été moins fréquent ou moins violent qu’ils ne l’ont prétendu… Prenons acte de cette évolution, mais remarquons que Spee dans Cautio Criminalis(14) rapporte qu’à Ingolstadt, alors que les condamnés sont au pied du bûcher, on a vu accourir six des personnes dont ils ont avoué le meurtre, venus protester de leur innocence !
Tels sont les effets miraculeux de la torture : le prévenu, même innocent, avoue n’importe quoi pour faire cesser ses tourments. D’ailleurs, s’il résiste et ne reconnaît rien, ou réfute tout, c’est qu’il use d’un « charme de taciturnité » qui lui permet d’être insensible à la douleur. Il s’agit donc d’une preuve incontestable de sa culpabilité et de son obstination. C’est un hérétique opiniâtre qui veut mourir impénitent et les juges le livrent au bras séculier. Autrement dit, si la torture est appliquée à un prévenu accusé de sorcellerie il sera de toute façon reconnu coupable. Par ailleurs, s’il avoue sous la torture puis se rétracte, il est « relaps » et donc livré au pouvoir laïque. Pour le prévenu, la seule façon de survivre est d’avouer tout ce qu’on lui demande puis de s’y tenir. Sauf s’il a confessé un crime d’empoisonnement, car dans ce cas, ses aveux le conduiront au bûcher.
En fait, les juges « cherchent tous les moyens possibles de venir à bout de leur ouvrage et de faire en sorte que celle qui est entre leurs mains soit telle qu’ils la désirent, c’est-à-dire coupable »(14). Car la grande majorité des accusés sont des femmes…
On peut, l’on doit même, après avoir lu Spee qui selon la notice du Dictionnaire des auteurs (Laffont) a été prédicateur du chapitre à Paderbom puis aurait été désigné en 1627 comme aumônier des condamnés au bûcher pour sorcellerie par le tribunal de Würzburg(15), s’interroger sur l’actuel courant révisionniste. Comment, avec les méthodes que nous décrit Spee, une personne traduite devant le tribunal pour sorcellerie pouvait-elle s’en sortir vivante ? Telle est la question qu’il faut se poser avant d’admettre, avec la plupart des historiens actuels, qu’on peut remettre en question sa déclaration :
« Je ne dis pas pourtant qu’il n’y ait aucune sorcière en Allemagne. J’accorde qu’il y en a. Mais j’ajoute que […] vu la façon dont on procède, il est inévitable que, dans la multitude de celles que l’on brûle, il y en ait une grande quantité d’innocentes… »
À moins évidemment que les méthodes observées par Spee n’aient été pratiquées entre le XIVe et le XVIIe siècle que par le seul tribunal de Würzburg ! Ce n’est cependant pas ce que semble croire F. B. de Velledor, le traducteur de la Cautio Criminalis, imprimée à Lyon en 1660(16).

Les (in)certitudes historiques
La « chasse aux sorcières » eut, c’est certain, proportionnellement bien plus recours à la torture et aux exécutions que l’inquisition en pays cathare ou l’inquisition espagnole. Cette évidence tient à la crédulité des juges ou à leur « désir de satisfaire le peuple ». Reste qu’en valeur absolue les historiens n’ont que des données partielles et locales. Les estimations moyennes affirment que cette traque fit de cinquante à cent mille victimes tant en pays catholiques qu’en pays protestants, les appréciations hautes en comptent pour plusieurs millions. Cependant, comme les auteurs n’expliquent ni à partir de quelles archives ni avec quel raisonnement ils arrivent à de tels résultats, ces chiffres sont aussi peu crédibles les uns que les autres.
De toute façon, quel que soit le nombre de victimes, les horreurs qu’on leur a fait subir sont bien réelles.
 






(0) Source : Médaille à l'effigie du pape Sixte IV par Andréa Guacialotti - Vers 1480, bronze, diamètre environ 3,5 cm - Musée du Louvre, Inv. n°OA 2455;
(1) Cette espérance élevée.
(2) Auteur de L’Histoire de saint Thomas d’Aquin, rééditée au Cerf en 2005. L'acheter sur Amazon
(3) « Esprit bon ou mauvais qui préside aux destinées de l’individu, de la communauté » (Dictionnaire du Moyen Français 1330-1500), sens premier. Prendra plus tard le sens du moderne « démon ».
(4) Alain Boureau, Satan hérétique : Histoire de la démonologie (1280-1330) Odile Jacob, source de cet alinéa. L'acheter sur Amazon
(5) Le mot juste serait « maléficié ». Cependant, l’usage actuel a consacré ce terme. Envoûtement désigne une technique « d’action à distance ».
(6) Description de la technique appelée envoûtement. Elle peut être utilisée pour tuer, guérir, etc. La citation est extraite d’Histoire de la papauté pendant le XIVe siècle de l’abbé J.-B. Christophe, Paris, 1853. Lire sur Google Books
(7) Histoire des souverains pontifes qui ont siégé dans Avignon, Avignon, 1774, attribuée à M. Tessier. Lire sur Google Books
(8) Manuel destiné aux inquisiteurs chargés de combattre la sorcellerie. Le marteau est le maillet du juge. (9) Cité par J. Français in L’Église et la sorcellerie en page 19 (Paris, 1910). Lire sur le site de la B. N. F.
(9) Cité par J. Français in L’Église et la sorcellerie en page 19 (Paris, 1910). Disponible sur le site Internet gallica.bnf.fr
(10) Dans la plupart des affaires, c’est une fiction juridique, mais l’Église réussit dans ce cas à imposer son point de vue.
(11) Uwe Brunn, Quand Dieu et les démons délivrent des vérités sur les cathares in Les Controverses religieuses entre débats savants et mobilisations populaires (Monde chrétien, Antiquité tardive – XVIIe siècle), Publications de l’Université de Rouen, 2012. Acheter sur Amazon
(12) Cité par Uwe Brunn, disponible en entier dans l’article de Daniela Müller, Conrad de Marbourg et les cathares en Allemagne (Heresis n°3, 1992, pages 53-80).
(13) Premiers mots de Matthieu II, 18. Les cathares sont censés massacrer leurs propres enfants pour en faire des poudres rituelles.
(14) Friedrich Spee von Langenfeld, Allemagne 1631 : un confesseur de sorcières parle, Cautio criminalis. Traduction, introduction, notes, chronologie et index d’Olivier Maurel (L’Harmattan, 2000). L'acheter sur Amazon
(15) Cité par Olivier Maurel, dans sa préface à l’ouvrage référencé en note (14).
(16) Disponible sur le site Internet gallica.bnf.fr sous le titre : Advis aux criminalistes sur les abus qui se glissent dans les proces de sorcelerie qui restitue le sens du titre complet de la Cautio. Lire sur le site de la B. N. F.



Bibliographie
Tous les ouvrages utilisés ont été cité dans les notes.






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