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Le monde vu à travers l'ésotérisme, site personnel de jean-Luc Caradeau

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Histoire de l'Ordre du Temple - - Trajectoire - 350 pages
Les mystères de l'ordre du temple - - Trajectoire - 368 pages

L’ordre du Temple : histoire et mystères


menu local«  En martyrisant le Temple, Philippe le Bel et Clément V en ont fait un modèle éternel Jean-Luc Caradeau...

la couverture du livre
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L’ordre du Temple est un élément important de l’histoire de l’Europe chrétienne. Il est cependant bien plus que cela. Son prestige : il fut le premier et en réalité le seul ordre religieux militaire, sa richesse, sa puissance, son destin tragique en ont fait un ordre légendaire.
Les templiers laissent dans l’histoire et dans l’imaginaire occidental la plus belle image du chevalier chrétien. Les faits historiques la justifient pleinement. Ils laissent aussi une image négative : ne dit-on pas « jurer comme un templier », « boire comme un templier » et cette image négative, certains d’entre eux l’ont probablement justifiée dans les tavernes. C’est certain, on peut faire la guerre avec les moines, mais pas avec des enfants de chœurs !
Il est un paradoxe du Temple : quand on l’étudie, quand on le replace dans son contexte historique et culturel, il devient encore plus grand, plus admirable. Le paradoxe c'est que l'histoire est aussi grandiose que la légende.
Cependant, l’histoire n’est pas tout. Les archives du Temple ont été détruites. Le temple est mort, pour l’histoire au concile de Vienne en 1312, quand le pape a promulgué la bulle Vox in excelso, après avoir imposé silence aux pères conciliaires en menaçant ceux qui prendraient la parole d’excommunication… L’épilogue dramatique de 1314 donnera ses martyrs à la mythologie templière.
Cependant, l’histoire n’est pas tout. Les archives du Temple ont été détruites. Le temple est mort, pour l’histoire au concile de Vienne en 1312, quand le pape a promulgué la bulle Vox in excelso, après avoir imposé silence aux pères conciliaires en menaçant ceux qui prendraient la parole d’excommunication… L’épilogue dramatique de 1314 donnera ses martyrs à la mythologie templière.
De toute façon l’histoire ne serait pas ce qu’elle est sans la légende. Par exemple, le fait que le testament de l’empereur Constantin soit un faux a peu d’importance historique. Ce qui a influencé l’histoire, c’est que l’Église de Rome a affirmé son authenticité et qu’un grand nombre de chrétiens l’ont cru ou ont feint de le croire.

Quand un livre se dédouble.

En 2005 Marie Delclos et moi avions publié, aux éditions Trajectoire L’ordre du Temple. L’ouvrage, peu après son lancement avait eu quelques problèmes de diffusion. En outre il était très volumineux et donc assez coûteux… Ces deux éléments avaient découragé les lecteurs potentiels.
En tant qu’objet, la clé des un symbole dont les sens « immédiats » sont ouverture / fermeture, liberté / enfermement, accès à ce que cache la porte ou le couvercle / dissimulation par la porte ou le couvercle.
En 2011, l’éditeur décidait de le rééditer en deux volumes. Cela d’ailleurs permit de rectifier de plusieurs erreurs de mise en page et de corriger un certain nombre de fautes qui nous avaient échappées lors de la relecture de la première édition… Par suite de « problèmes techniques » rencontrés à la maquette, nous n’avions eu que cinq jours pour relire 700 pages et la mise en page elle-même comportait quelques défauts. En 2011, l’éditeur décidait de rééditer l’ouvrage en deux volumes. Un pour l’histoire, un autre pour les mystères…

Histoire de l'ordre du temple

Si on écrit pour les historiens, l’histoire du Temple commence en 1118. Nous n’écrivons pas pour les historiens, mais pour le grand public. « Le phénomène » « naissance, développement, destruction » du Temple s’inscrit dans divers contextes et ne peut être compris si la connaissance de ces contextes est insuffisante. Les quatre premiers chapitres de l’histoire s’attachent donc à dresser le décor dans lequel se déroule le drame templier. Le décor, dans ce cas, c’est l’histoire de l’Orient et de l’Occident depuis 711, date de la bataille de Guadalquivir et début de la conquête de l’Espagne par les islamistes. C’est aussi des éléments relevant du droit médiéval et du droit canon, c’est enfin l’histoire de la première croisade et des états latins Terre sainte dont l’existence permet voire rend nécessaire la création du Temple. Ce sont, de l’avis des auteurs, ces quatre chapitres introductifs qui font l’originalité de l’ouvrage et lui permettent par la suite d’expliquer avec précision certains aspects du fonctionnement du temple et de son histoire. En fait, ils tentent amener le lecteur à penser et comprendre le temple comme un contemporain des faits… Et d’après ce que nous en ont dit certains lecteurs, il y parvient assez bien.
A ce propos, nous invitons ceux qui ont lu ou lisent actuellement ce livre à lire L’Église et le monde en l’an 1000, article écrit pour la revue Histoire des Papes et des saints en 2009 sous le pseudonyme d’Yves Leclerc. Il est plus précis en matière de droit médiéval que nous n’avons pu l’être dans le livre.

Extrait de la quatrième de couverture de Histoire de l’ordre du Temple

« Pas à pas, l’élaboration de l’Ordre du Temple est décortiquée, depuis la victoire de Charles Martel à Poitiers, en passant par la querelle des deux pouvoirs rivaux, celui du pape et de l’empereur. Sans omettre l’opportunisme formidable d’Urbain II qui a été tenté de réunifier un monde chrétien séparé depuis le Grand Schisme. Fort bien décrite, la première croisade débouche sur la fondation du royaume de Jérusalem et la création de la Milice des pauvres Chevaliers du Christ en 1119.
Les incertitudes quant aux fondateurs et à la fondation même de l’Ordre, le voyage en France d’Hugues de Payens, le concile de Troyes, la règle de saint Bernard sont largement détaillés.
En outre, plusieurs aspects très rarement abordés sont ici développés. Si l’on connaît généralement les Templiers comme moines, soldats et bâtisseurs de forteresses, peu savent qu’ils furent les inventeurs de la lettre de change, les détenteurs de la première Marine de l’époque, les possesseurs de biens immobiliers considérables ou encore les propriétaires de vastes haras... Bien sûr, le procès des Templiers, l’examen de leur présumée culpabilité, l’ambition et le cynisme de Philippe le Bel, la veulerie du pape Clément V sont amplement développés. En fin d’ouvrage, des documents essentiels viennent compléter cette étude : la liste des grands maîtres de l’Ordre, les implantations du Temple à Paris et ailleurs, ainsi qu’une chronologie des croisades.
Ils sont parvenus à les rassembler et les confronter afin qu’ils s’éclairent les uns les autres.
L’histoire de l’Ordre du Temple est un texte haletant, qui se lit sans trêve, et qui comporte des analyses réellement novatrices, appuyées sur des documents incontestables.
» (Rédigé par l’éditeur).
Les mystères de l'ordre du temple la couverture du livre
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Les mystères de l’Ordre de Temple sont inséparables de son histoire… Dans cet ouvrage entrent en scène des personnages, des faits, de problématiques qui certes, ont peu d’importance pour l’histoire officielle, mais ont joué du fait même de leur existence un rôle dans l’élaboration de « l’ésotérisme templier », tant dans celui qui se transmettait au sein de l’ordre, que dans celui qui s’est transmis après sa disparition ainsi que celui « inventé » par diverses « résurgences templières »…
Pour les premiers, ceux qui se transmettaient au sein de l’ordre : nous n’avons accès qu’à leurs sources probables et aux « indices d’ésotérisme » que les templiers ont laissé derrière eux. Pour les seconds, nous avons l’œuvre de Dantes et de probables héritiers légitimes de l’ordre : les mystérieux Rose Croix. Pout les troisièmes enfin, nous avons les légendes, certaines probablement authentiques, d’autres inventées dans des buts avouables ou non… Mais laissons la parole à l’éditeur qui a su mieux que nous présenter cet ouvrage.

Quatrième de couverture de Les mystères de l’ordre du Temple

« Dans leur précédent ouvrage : « Histoire de l’Ordre du Temple », Marie Delclos et Jean-Luc Caradeau avaient effectué un rigoureux travail d’historien sur cet Ordre, de ses racines carolingiennes jusqu’à sa fin tragique et l’exécution de Jacques de Molay.
Mais comment en rester là ? Comment ne pas s’attarder sur les nombreuses zones d’ombre et autres mystères ou légendes qui nimbent cet ordre ? Tout a été dit et son contraire, chacun y allant de ses allégations plus ou moins fondées. Aussi, les auteurs de cet ouvrage ont tenu à s’appuyer sur les éléments les plus sérieux pour étayer leur étude. Il sera question de l’Arche de YHVH, du sceau des Templiers, de l’arithmosophie templière, de Baphomet, de la règle secrète, des liens avec la Rose-Croix, du linceul de Turin, de la malédiction du 18 mars 1314, du voyage des Templiers en Amérique et de la carte de Piri Reis, et bien évidemment, de leur fameux trésor.
En dernière partie, les auteurs se sont interrogés sur ce qu’il restait de l’Ordre du Temple après sa mort. Car est-il vraiment mort ? Comment passer sous silence l’immense héritage qu’il nous a légué ? Le compagnonnage et la Franc-maçonnerie seraient-ils les mêmes aujourd’hui si l’Ordre n’avait pas existé ? Sans oublier les résurgences de l’Ordre : l’OSMTH (Ordo Supremus Militaris Templi Hierosolomytani), les filiations Aumont ou Beaujeu, l’Ordre souverain du Temple initiatique, l’Ordre souverain du Temple du Christ ou encore l’Ordo Templi Orientis...
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